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Nilda Fernandez
Le Trianon Transatlantique
4 décembre 2015
La petite salle du Trianon affiche complet pour cette fraiche soirée de décembre.
Il est seul avec sa guitare, comme souvent.
Il chante les mots, ces mêmes mots qui mit les uns au bout des autres deviennent des poésies
musicales racontant ses rencontres de voyage. De Lyon à Barcelone, de Paris à Moscou, à
Bueno Aires ou dans le grand nord canadien, au festival des « mariés », il ramène ses mots. Il
les chante en français, en espagnol, en russe.
Il aime les petites salles ou les bistrots, pour mieux sentir son public. Il parle avec ce public,
de tout.
Mais aussi de la liberté, celle la même qui a été ensanglantée récemment, dénonçant l’excès
d’images et d’informations des médias.
Il aime la liberté, celle de choisir et d’être ce que l’on souhaite, celle qui offre la paix et
l’harmonie.
Il finira son concert, mais le public en veut encore et il reviendra, aussi longtemps que les
gens dans la salle chanteront avec lui. Il y aura des morceaux cultes comme « Sur la peau »,
« Mes yeux dans ton regard », « Nos fiançailles », « L’invitation à Venise », « Les sentiments
forts », « Innu Nikamu »