29 décembre 2008
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08:00
La route est longue mais pas trop difficile. Nous allons nous arreter dans un village pour acheter du charbon de
bois.

Encore un village hors du temps. Les hommes sont armés jusqu'au dents, pas du tout avenant . Ils nous dévisagent, fouillent des yeux ce qui traine dans la voiture. Nous n'osons pas sortir nos appareils photos. Nous n'avons qu'une idée, c'est de repartir de cet endroit qui nous donne la chair de poule . Chemey revient enfin , nous soufflons.
Nous reprenons la route .

Nous stopperons en chemin pour déjeuner rapidement.
C'est un village de tôles, construit pour les travaux.
Les éthiopiens vivent au milieu de rien , avec rien .
Notre chauffeur nous arrête dans un "restaurant bar " local .Ils nous demande d'attendre que les ouvriers soient repartis travailler pour descendre de la voiture.
Ils vont négocier un repas touristique, c'est dire sans trop de piment pour nous. Le tout accompagné de sardines à l'huile, nous aurons notre ration .
Il y a 2 femmes qui servent , aguichantes. Nous ne sommes pas sur que leur seul métier soit le service au restaurant..
Le repas se passe bien , nous allons marcher un peu pour nous dégourdir les jambes et essayer de glaner quelques photos .
Une heure plus tard , nous repartons. Au loin ,dans toute cette immensité de pierres noires, nous apercevons une tache bleutée.
C'est le lac Afdera : une étendue turquoise, émeraude bordé d'écume de sel. Les cônes volcaniques s'y reflètent, ainsi que des palmiers.
En son centre, l'île la plus basse du monde, 100 m au-dessous du niveau de la mer. Tout autour, des salines. Les étendues de sel scintillent au soleil couchant. Le soir n'interrompt pas les allées et venues des ânes chargés de jerricans. Une source d'eau douce et chaude vient se mêler à l'eau salée du lac.
Nous marchons su la lave et ses grosses pierres pour faire quelques photos.
Les ouvriers travaillent un peu plus loin à l'extraction du sel.
Ils sont en short et tee shirt, sans protection, avec des outils rudimentaires et de grosses brouettes. Ils travaillent sous un soleil de plomb ,les yeux brûles par le sel et le soleil .
Ce soir , nous dormirons dans un hôtel local. Murs de paille, toit de tôle et sommier de corde. Le vent soufflera toute la nuit, soulevant les tôles . Mais les locaux nous ont bien accueillis. Notre cuisinier nous a préparé des spaguettis sans sauce tomate. Le bière est fraîche, l'ambiance détendue,musicale . Nous passons une bonne soirée .
Demain , nous serons sur le site de l'Erta Alé.


Encore un village hors du temps. Les hommes sont armés jusqu'au dents, pas du tout avenant . Ils nous dévisagent, fouillent des yeux ce qui traine dans la voiture. Nous n'osons pas sortir nos appareils photos. Nous n'avons qu'une idée, c'est de repartir de cet endroit qui nous donne la chair de poule . Chemey revient enfin , nous soufflons.
Nous reprenons la route .

Nous stopperons en chemin pour déjeuner rapidement.
C'est un village de tôles, construit pour les travaux.
Les éthiopiens vivent au milieu de rien , avec rien .
Notre chauffeur nous arrête dans un "restaurant bar " local .Ils nous demande d'attendre que les ouvriers soient repartis travailler pour descendre de la voiture.
Ils vont négocier un repas touristique, c'est dire sans trop de piment pour nous. Le tout accompagné de sardines à l'huile, nous aurons notre ration .
Il y a 2 femmes qui servent , aguichantes. Nous ne sommes pas sur que leur seul métier soit le service au restaurant..
Le repas se passe bien , nous allons marcher un peu pour nous dégourdir les jambes et essayer de glaner quelques photos .
Une heure plus tard , nous repartons. Au loin ,dans toute cette immensité de pierres noires, nous apercevons une tache bleutée.
C'est le lac Afdera : une étendue turquoise, émeraude bordé d'écume de sel. Les cônes volcaniques s'y reflètent, ainsi que des palmiers.
En son centre, l'île la plus basse du monde, 100 m au-dessous du niveau de la mer. Tout autour, des salines. Les étendues de sel scintillent au soleil couchant. Le soir n'interrompt pas les allées et venues des ânes chargés de jerricans. Une source d'eau douce et chaude vient se mêler à l'eau salée du lac.
Nous marchons su la lave et ses grosses pierres pour faire quelques photos.
Les ouvriers travaillent un peu plus loin à l'extraction du sel.
Ils sont en short et tee shirt, sans protection, avec des outils rudimentaires et de grosses brouettes. Ils travaillent sous un soleil de plomb ,les yeux brûles par le sel et le soleil .
Ce soir , nous dormirons dans un hôtel local. Murs de paille, toit de tôle et sommier de corde. Le vent soufflera toute la nuit, soulevant les tôles . Mais les locaux nous ont bien accueillis. Notre cuisinier nous a préparé des spaguettis sans sauce tomate. Le bière est fraîche, l'ambiance détendue,musicale . Nous passons une bonne soirée .
Demain , nous serons sur le site de l'Erta Alé.
