La cuisine éthiopienne diffère des autres cuisines africaine par son usage de l’injera , une galette qui sert d’assiette et de couverts.
La variété des climats éthiopiens permet de faire pousser un grand nombre de légumes et féculents
le millet surtout, mais aussi du maïs, de l’orge, des lentilles, des pois cassés, différentes sortes de haricots, des oignons, de l’ail ou encore de la
coriandre.
l’injera une sorte de galette levée qui sert à la fois de récipient et d’outil pour se servir de nourriture et manger est confectionnée avec du millet. L’autre ingrédient principal est le bérbéré (sorte de piment rouge, ). Le nom s’applique également à un mélange d’épices parmi lesquelles le piment (séché) à proprement parler, mais aussi de l’ail, du gingembre , des oignons rouges, de la graine de rue, de la cardamome, des clous de girofle ou encore de la cannelle.
Le plat le plus populaire est le wat , un ragoût à base de légumes, de légumes secs ou d’une viande — agneau, bœuf et, le plus courant, poulet —, libéralement assaisonné de bérbéré . Parmi les plats classiques figurent aussi bien de nombreux plats de légumes (influence des chrétiens coptes du pays, végétariens ) que des plats de viande, parfois servie crue avec du piment (kofta).
Le t’ella est une bière traditionnelle brassée à partir d’orge ou de malt , de houblon
et de feuilles de gesho , employée également dans la fabrication du t’edj — sorte d’hydromel qui accompagne souvent les plats éthiopiens.
A voir la photo , on a envie d'en manger, avec la main droite uniquement .
En réalité, au cours de notre périple, nous n'avons pas particulièrement apprécié la cuisine locale.
Les Ethiopiens sont essentielement carnivores, ils apprecient les roast lamb, viande coupée en tous petits dés, cuites à l'eau ???? le tout jeté sur l'injera.
Peut être qu'en octobre , novembre, il y a peu de légumes disponibles.
D'ailleurs sur les marchés, nous n'avons que des tomates , des bananes et des oranges.