16 novembre 2009
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19:33
Hier soir avait lieu à Dublin en Irlande, le match aller de qualification pour le mondial de football.
Hier à la Traverse avez lieu un concert de rock irlandais .
Résultat,1 partout. Bravo au public , bravo aux musiciens, la bière coule à flots et la musique va bon train .
Tout d'abord, Par Mac Manus.
http://www.patmcmanus.co.uk/index.htm
http://www.myspace.com/patmcmanus
C'est un irlandais originaire du nord du Pays, né d'unefamille de musiciens et bien sur, il apprend le violon très jeune. Puis la guitare. A 20 ans, avec ses frères, il monte un groupe et le succès arrive très vite.
Il travaille en collaboration avec ders groupes célèbres comme Bon Jovi, Scorpions, Rush, Thin Lizzy, Sting et bien d’autres encore.
Le titre "Mama We’re All Crazee Now " restera au hit parade irlandais pendant 6 semaines. il aura une grande notoriété au niveau internationale.
En 2007 , Pat enregistre un album solo, un mélange de blues et de rock.
Un prochain album est prêt , il doit sortir ces prochains jours (en prévente à la traverse ) .
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Hier à la Traverse avez lieu un concert de rock irlandais .
Résultat,1 partout. Bravo au public , bravo aux musiciens, la bière coule à flots et la musique va bon train .
Tout d'abord, Par Mac Manus.
http://www.patmcmanus.co.uk/index.htm
http://www.myspace.com/patmcmanus
C'est un irlandais originaire du nord du Pays, né d'unefamille de musiciens et bien sur, il apprend le violon très jeune. Puis la guitare. A 20 ans, avec ses frères, il monte un groupe et le succès arrive très vite.
Il travaille en collaboration avec ders groupes célèbres comme Bon Jovi, Scorpions, Rush, Thin Lizzy, Sting et bien d’autres encore.
Le titre "Mama We’re All Crazee Now " restera au hit parade irlandais pendant 6 semaines. il aura une grande notoriété au niveau internationale.
En 2007 , Pat enregistre un album solo, un mélange de blues et de rock.
Titres :
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Un prochain album est prêt , il doit sortir ces prochains jours (en prévente à la traverse ) .
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En musique, comme pour les titres d’albums, aller à l’essentiel est souvent
gage de réussite. Ce ‘2PM’, pour ‘2ème album du Pat McManus Band’, va à l’essentiel, sans compromis, démontrant toute l’étendue du talent du ‘Professeur’. Talent d’auteur-compositeur
comme d’instrumentiste. C’est direct et sans fioritures, c’est puissant et ça écrabouille toute résistance possible. C’est du pur jus blues et rock à la fois, c’est du concentré, c’est en un
mot l’essence de l’essentiel.
Au travers des 14 titres alignés ici, Pat McManus propose un survol de tout ce
qui fait de l’irlandais l’un des grands retours gagnants après toutes ces années de silence, de repli après les Mamas Boys et Celtus. Un retour qui fut salué comme il se doit après un premier
opus de grande qualité, ‘In My Own Time’, et qui se trouve conforté avec ce ‘2PM’ de haute volée.
Enregistré dans le studio de son ami Mudd Wallace, qui fait office de quatrième
membre du band quand celui-ci est en studio, l’album est de qualité irréprochable et peut s’écouter à fond les manettes, en poussant les curseurs au max du max comme au niveau le plus faible,
pour ne pas déranger les voisins qui dorment, car il est seulement deux heures du mat.
Secondé par une rythmique en acier trempé, le Pat aligne les compos comme des
perles sauvages, plus belles les unes que les autres: du perforant ‘Chasing Away The Blues’ qui ouvre l’album au percutant ‘Best Friends (End Of The Line)’ et sa mortelle intro à la gratte, en
passant par le rugueux et méchant ‘Law of the Jungle’ et le magistral ‘Rough Diamond’ et son éblouissant solo de guitare. La seule ballade de l’album, pas sirupeuse pour deux sous, et qui vous
scotche au plafond, pieds et poings liés, pour que vous preniez le solo en pleine tronche. Eblouissant, vous dis-je, et j’en connais qui après avoir écouté le Pat vont se la ranger, leur
Gibson. Y’a des titres, comme ça, dans lesquels on aimerait que le solo ne s’achève jamais, jamais, jamais…
Tous les morceaux possèdent leur propre identité, leur propre lumière, et
l’ensemble vous donne un album arc-en-ciel venimeux au possible.
Invité sur le dernier titre de l’album, le jeune Ali Clinton, treize ans,
accompagne le Pat pour la seule reprise proposée sur cet opus, une version débridée de ‘Blowin’ In The Wind’ de qui vous savez. Un bonus qui tranche un peu avec le reste de l’album mais qui lui
apporte également cette touche de fraîcheur qui donne du Professeur l’image de ce qu’il est vraiment, un mec adorable et attachant, et pas uniquement le génial guitariste qui vous décalque le
blues façon étoile filante. Respect, mec! "".
Frankie Bluesy Pfeiffer