13 novembre 2009
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Au trianon transatlantique ce soir.
Et la salle est bien remplie.
Ils sont 3 ,Olivier dit Odelaf ou le gros, Monsieur D et Firmin , le stagiaire pas payé , le neveu d'une personne de la télévision qu'ils ne peuvent pas nommer .
Ils chantent, ils dansent , ils jouent la comédie, ils s'amusent bien sur scène avec leurs textes dejantés, leur costumes pour deguisement d'enfant . tantôt playmobil animé, tantôt super heros, on
ne s'ennuie pas.
Cete dernière tournée d'adieu qui accompagne leur dernier cd, "dernière chance d'être disque d'or " se terminera à l'Olympia en janvier 2010.
En attendant, surtout , il faut aller à Rennes.
Rennes n'est loin de rien, nous pouvons tous aller à Rennes .
Pour aller à Rennes d'ici, prendre à droite au rond point, tourner 5 fois autour du panneau et revenir en arrière, c'est là bas. Bonne route .
leur
site
leur discographie
13 novembre 2009
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Ce soir , deux femmes, deux opposées.
Tout d'abord , en 1 ère partie, Hindi Zahra.
Inconnue, ......moi non plus je ne la connaissais pas avant ce soir.
Mais quelle rencontre !!!
Cette jeune femme aux racines marocaines nous a enchantée avec sa voix chaude, sa sensualité.
Elle nous a offert un concert de 1 er ordre , tantôt en français , tantôt en anglais, et même en arabe.
Une musque métisse, du blues,du jazz , mélé de consonance orientale, discrète mais bien là.
En accompagnement, deux guitares, une batterie , son groupe avec
My Family....Khouribgha & Gnawa...., Thomas Naim (guitare), .........
Pas de grand discours, elle s'en est excusée. Elle débute, elle est encore timide.
http://www.myspace.com/zahrahindi
Ensuite, Sophie Hunger
Elle je la connaissais
Je l'avais déjà vu à Paris , en 1ère partie de Stephan Eicher , il y a 3 ans, au Bataclan.
Elle en voulait, après son concert, celui de Stephan Eicher, nous l'avons retrouvée dans la rue, attendant la sortie du public pour refaire son concert, assise sur la selle d'une moto garée sur le
trottoir.
Le public s'était alors de nouveau arrété pour l'écouter. Elle était gaie, elle était très souriante ce soir là .
Rien à voir avec ce soir.
Elle a toujours cette belle voix, elle écrit et compose toujours les chansons qu'elle interprete, mais ce soir, la distance entre elle et le public était telle , qu'il n'y avait pas moyen de
rentrer dans son univers musical.
Sauf lorsqu'elle a chanté une chanson de Noir Désir, le vent nous portera et aussi au 2 ème rappel.
Elle s'est assise en tailleur devant son public, avec ses musiciens, ils ont tous coupé les amplis et nous ont offert une dernière mélodie .
Là, j'ai retrouvé celle que j'étais venue écouter ce soir. Elle a enfin donné un peu de chaleur à ce concert .
Au retour, j'ai de nouveau écouté son 2ème album, monday's gost et c'est un bel album.
http://www.myspace.com/sophiehunger
le groupe de musiciens :
CHRISTIAN PRADER - FLUTE, GUITAR, VOICE
MICHAEL FLURY - TROMBONE
SIMON GERBER - BASS
JULIAN SARTORIUS - DRUMS
7 novembre 2009
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http://www.jamesmorrisonmusic.com/
Ce soir, c'est pour le plaisir de voir et d'écouter un artiste que je sors.
Ma petite voiture tourne et en route pour Paris, boulevard des Capucines .
Il y a longtemps que je n'y suis allée et ce soir, c'est James Morrisson qui tient l'affiche.
25 ans , anglais, sa voix rocailleuse accompagne une musique qui lui va comme un gant, un peu blues, un peu soul , pleine d'émotions et d'amour .
Pendant une heure et demie, il enchainera tous les morceaux que je fredonne souvent.
You give me something , sorti en 2006 sur son 1 er single et son 1 album est d'emblée un gros succès. Il la chantera ce soir , avec plein d'autres , comme , "the only night" , "Save yourself
, You make it real , Love is hard , If you don't wanna love, broken strings ,.......
.et bien d'autres encore .
Au rappel , un hommage au roi de la pop, si vivant depuis son départ . Et puis c'est reparti pour quelques chansons personnelles.
Une salle toute vouée à l'artiste, une fosse remplie de fans en forme ,un bon moment musical, une bonne soirée.
Cette photo là n'est pas de moi, je n'avais pas d'apn ce soir , enfin si , un petit compact
......
Photo Credit: Paul Bergen
6 novembre 2009
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C'est sa première représentation en France, elle débute par une scène à Rouen.
Ce soir , Melody Gardot a rempli le Hangar 23. Il n'y a plus une seule place à vendre .
Chanteuse de jazz américaine, elle a une notoriété croissante depuis la sortie de son 2eme album
Elle chante donc, d'une voix sensuelle, s'accompagne de son piano .
Ses 3 excellents musiciens,
-
Kenneth Pendergast à la contrebasse,
-
Charles Staab III à la batterie,
-
Bryan Rogers au saxophone
jouent avec talent les mélodies qu'elle a composée .
C'est un concert tout en douceur , dans une ambiance feutrée , réchauffée des subtils éclairages que nous auront ce soir.
Elle aime s'adresser à son public, elle communique dans un français un peu américanisé , son sourire ,l'envoi de baisers font le reste , la main sur la poitrine, juste sur le coeur fait le
reste.
23 octobre 2009
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Hier soir au trianon.
Pas vraiment un concert, pas vraiment non plus une comédie musicale mais plutôt un spectacle chantant , burlesque.
Une heure et demie de rigolade.
Elles sont trop drôle .
Elles sont 4 jeunes femmes , Judith, Prunella , Elise et Delphine . Elles jouent la comédie, elles chantent ,elles sautent partout dans un costume de scène qui a lui seul vaut le déplacement .
Sur scène, vive le camembert et sa baguette, vive les fleurs en papier et en plastique. C'est la fête des "vieux " en vacances dans les club palace, c'est faire pipi sur le gazon, c'est jouer avec
le pousse pousse, des grosses moustaches, du "vol" de sac à main et de montres.
En decors, un lampion qui s'allume d'un claquement de doigt, un pousse pousse , un gramophone qui s'emballe, un table, du pain et du fromage. Et aussi, cachés derrière 2 grand
parapluies en papier, un contrebassiste et un guitariste .
http://www.myspace.com/lesseagirls
http://www.les-seagirls.com/
18 octobre 2009
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J'ai découvert ou plûtot apprécié sa discographie il y a peu de temps .
Le graphisme de la pochette de son dernier cd m'a attiré, j'ai aimé les textes, l'humour de ses textes, l'irréalisme de ses textes, j'ai aimé la musique.
Il écrit des fables , comme La Fontaine , utilisant les animaux et les végétaux pour raconter ses histoires fabuleuses , imaginatives et tellement drôles. Les mots sont à double sens ,et décrivent
Monsieur ou Madame Toulemonde dans leur univers sans adresse définie.
Je n'avais jamais vu Thomas Fersen sur scène, c'est fait .
Il donne concert un dimanche après midi dans une toute petite salle à côté de chez moi, je prend un billet. En octobre, il ne fera sûrement pas beau , je n'aurai que quelques kms de route donc
pas d'hésitation .
En fait , il a fait très beau ce 18 octobre après midi d'octobre, il a fait très chaud dans cette petite salle et j'ai passé un sacré bon moment avec ces 4 musiciens .
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1. Germaine
2. Ukulélé
3. Chocolat
4. Formol
5. Punaise
6. Les mouches
7. Gratte-dos
8. Ce qu'il me dit
9. Concombre
10. Embarque dans ma valise
11. La malle
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Sa voie rocailleuse, son sourire coquin, son accordéoniste Alexandre nous ont transporté dans son univers
intemporel .
10 octobre 2009
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Après la présentation des spectacles à venir pour la saison 2009 _ 2010 par Régis Senacal , une assiette garnie est offerte aux spectateurs pour l'inauguration des prochaines festivités.
Florence Carrou, artiste de la compagnie éolienne , alias Lola Montes animera cette soirée .
Marie-Dolorès Gilbert alias Lola Montes
naît le 23 juin 1818 à Iristown, en Irlande. Fille d’un officier de l’armée britannique, elle accompagne ses parents aux Indes en 1823. Le capitaine Gilbert, qui vient de combattre sur le
continent, à Waterloo, face aux armées de l‘Empereur des Français est en effet affecté à Dinapore, sur les bords du Gange. La région est marécageuse, l’air insalubre. Les fièvres déciment son
régiment et le père de Marie-Dolorès n’échappe pas à la mort. Après que le choléra l’eut emporté, l’enfant et sa mère sont confiés aux bons soins d’un ami de la famille, le major Craigie. Quelques
mois plus tard, ce dernier s’unit à la jeune veuve, tandis que l’adolescente est envoyée en Europe, à Paris, afin d’y effectuer quelques études. A son retour, Marie-Dolorès est éblouissante de
beauté et de charme. A Londres, accompagné du lieutenant Tom James, sa mère projette à présent de la marier à un juge au tribunal suprême de l’Inde, Abraham Limley, un fort beau parti. Âgé de
soixante-deux ans, le magistrat bénéficie en effet de plus de 20.000 livres de rentes… Le beau militaire cependant déjoue les plans de la mère intéressée. En 1837, il enlève la jeune fille et
l’épouse. Celle-ci est âgée de dix-neuf ans.
Au manoir familial de Castlarough, la vie est monotone pour celle qui est devenue Mrs James. Bientôt son mari s’éprend d’une certaine Mrs Lomer et la délaisse. Celle-ci demande le divorce et s’en
revient auprès de sa mère. Cette dernière, qui n’a pas oublié la trahison passée, l’expédie alors chez de lointains parents en Ecosse. Sur le navire qui doit la reconduire vers l’Europe,
Marie-Dolorès fait la connaissance de Charles Lennox, un dandy qui l’installe à Londres. Cette rencontre va décider de son destin futur. Le séducteur lui présente Fanny Kelly, une ancienne grande
vedette de la scène. Après lui avoir dispensé quelques cours d’expression dramatique, celle-ci, devant le peu de résultat obtenu par son élève, lui conseille d’essayer plutôt la danse. Et voilà
Marie-Dolorès Gilbert qui se transforme en « Dona Lola Montès, du théâtre royal de Séville ». Au mois de juin 1843, l’artiste se produit dans les théâtres londoniens, déguisée en gitane,
et assurant ainsi un intermède de charmes au milieu des représentations des acteurs.
Remarquée par le pianiste virtuose Franz Lizt, alors en tournée dans la capitale londonienne, ce dernier fait de Lola sa maîtresse. L’artiste emmène la courtisane partout en Europe, puis la quitte,
un soir, à Dresde, lassée de ses caprices. A Paris, Lola Montès se fait connaître par quelques exhibitions légères à la Porte-Saint-Martin. La police veille cependant aux bonnes mœurs, y compris
sur les planches des théâtres. Aussi on interdit à Lola désormais de se produire en gitane. Elle décide donc de jeter son dévolue sur l’Allemagne voisine et la Bavière. Le 5 septembre 1846, le roi
Louis Ier lui accorde une audience et est aussitôt ébloui par la beauté de la jeune femme. Les talents de séductrice de Lola Montès font le reste. Celle-ci obtient du roi de débuter le 12 octobre
suivant à l’Opéra de Munich. Trois représentations se suivront, mais les sifflets du public mettent rapidement un terme à sa carrière munichoise. « Désormais vous ne danserez plus que pour
moi », lui affirme le monarque, qui peu de temps plus tard offre à Lola Montès un splendide hôtel, baptisé Furstenried, dans le quartier de la Barestrass. Lola Montès, la courtisane, est
parvenue à ses fins.
Cependant le scandale est grand dans le royaume : le roi Louis Ier entretient une femme de petite vertu. A t-elle point que l’archevêque de Munich demande audience au roi afin de l’adjurer de
renvoyer la danseuse qui le détourne de son devoir de souverain. Le prince de Metternich, maître à l’époque de la diplomatie européenne, décide également d’intervenir. L’autorité du roi de Bavière
est depuis quelques temps déjà fragilisée par la montée de l’opposition libérale. C’est sans compter sur le caractère de Lola Montès qui renvoie le baron von Lantenau, envoyé par le chancelier
d’Autriche. Celui-ci venait de lui proposer de quitter la cour, moyennant finances…
Apprenant l’affront qui vient d’être fait à sa maîtresse, le monarque décide de donner à Lola Montès le titre de comtesse de Landsfeld, avec bien sur les droits, biens et privilèges afférents. Le
11 février 1847, Charles d’Abel, le premier ministre, apprend la nouvelle à ses collègues, consternés. L’ensemble du cabinet démissionne. Bientôt, la rue elle-même s’anime, le peuple manifeste
jusque sous les fenêtres de la belle étrangère. Les étudiants figurent en bonne place dans le cortège qui défile. Qu’importe l’Université est fermée pour une année complète ! Devant l’ampleur du
mécontentent cependant, - la foule se masse à présent devant le palais royal - Louis Ier de Bavière finit par se laisser fléchir. Lola Montès est
bannit du royaume de Bavière.
Revenue à Londres, elle décide de monter une pièce de théâtre, qui raconte sa propre histoire. Lola Montès, ou la comtesse d’une heure est interdit cependant. Celle-ci trouve un second mari, en la
personne de George Trafford Heald, un officier des Life-Guards. Contrairement à ce qu’elle pensait cependant, Tom James est toujours en vie et, peu de temps après, un procès pour bigamie lui est
intenté. Les juges lui sont cléments cependant et c’est en compagnie de son nouveau chevalier servant qu’elle gagne la France. Quelques mois plus tard, ce dernier demande le divorce, tandis que
Lola Montès poursuit son existence aventureuse. Le 5 décembre 1851, la courtisane est à New-York. Trois semaines plus tard, elle interprète son propre rôle sur la scène du Brodway Theater dans une
comédie intitulée Betty la Tyrolienne. Après avoir gagné la Californie à l’époque de la Ruée vers l’or, au mois de mai 1853, puis l’Australie en 1855, l’ancienne courtisane est gagnée par la foi.
Elle se consacre dès lors à promouvoir des œuvres caritatives au sein de l’Église méthodiste
« Lola Montès était une charmeuse. Il y avait dans sa personne un je ne sais quoi de provocant et de voluptueux qui attirait. Elle avait la peau blanche, des cheveux ondoyants comme des
pousses de chèvrefeuille, des yeux indomptés et sauvages et une bouche qu'on aurait pu comparer alors à une grenade en bouton. Ajoutez à cela une taille lancinante, des pieds charmants et une grâce
parfaite. Par malheur elle n'avait, comme danseuse, aucun talent.»
9 octobre 2009
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Retour à la traverse pour ce soir
Au programme , en première partie, "la bestiole ", un groupe ou plutot un duo , tendance rock, qui cogne, qui cogne...
Delphine Labey tient la guitare, Olivier Azzano gratte la guitare basse et les 2 chantent .
Cà decoiffe, du rock brut de coffrage .

Ensuite Clarika
http://www.clarika.net/blog/
http://www.myspace.com/iamclarika
http://gaetlebrun.free.fr/clarikav4/accueil.html
L'afiche est plutôt aguicheuse et on s'attend tous à voir une blonde. Mais il y a une ruse .
La blonde , ce n'est pas elle, mais elle y est quand même , cherchez la ...
Bref, elle brune, pas très grande coiffé style decoiffé , tout comme son humour qui nous fera rire toute la soirée .
Bien mérité
Les bavards
Moi en mieux
Rien de tel (qu'une p'tite chanson)
Lâche-moi
je ne serai pas
Escape Lane
De fille à femme
C'est l'hiver
La petite boite
Des bulles
Dans les cabines d'essayages
L'ennui
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Il y a eu les garçons dans les vestiaires, j'attendrai pas 100 cents ans, Moi en mieux, de fille à femme
, Dans les cabines .......
Il y a eu plein de chansons, pleins de rythme, de danse , de magnifiques lumières et beaucoup d'humour
décapant, mais tellement vrai et dit avec tant de légéreté .
Il y a eu aussi Supe pop rock, supertoshop, teleshop et le roi de la pop. Une ironique pensée au roi de la pop, Mikael Jackson avec son pas de danse, son chapeau . Trop drôle .
Pierre Bellemare aussi a eu son moment de solitude, pendant un entre deux au teleshopping , qui aurait pu changé leur vie ....
Elle reviendra en janvier dans la région, j'y retournerai surement .C'est trop bien , trop drôle, trop poétique .
5 octobre 2009
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Pour cette soirée d’ouverture du nouveau festival de traverse, deux mondes bien différents ont fait sonné les
cordes des guitares et touches des claviers.
Le blues du désert de Amar Sundy m’ a transporté dans mes voyages en Algérie. J’ai revécu ces quelques début de nuit au son du oud , autour du feu de bivouac, après une longue journée de marche ou
de route .
http://www.myspace.com/amarsundy
http://www.amarsundy.com/
Cette musique traditionnelle du désert est née de la révolte des Tamasheq . Depuis des siècles, les hommes
bleus du désert contrôlaient le trafic caravanier allant de Ghat , en Libye à Gao , au Mali. Au moment de l’indépendance du Mali et du Niger, en 1960, ils ont été confrontés à la dominance des
populations sédentaires du sud de ces régions . La répression s’abat alors sur les populations nomades et les contraint à l’exil . La sécheresse, le chômage , le déclin du transport caravanier les
oblige à la sédentarité. C'est pendant ces périodes agitées, jusqu’aux années 80 où furent signés des accords de paix qu’est né le blues du désert.
C’est une musique accompagnés de chants lancinants, et d’une guitare. Les Touareg, apprennent à manipuler simultanément les cordes de leur guitare et les kalashnikovs.
Ce soir, c’est l’un d’entre, armé seulement de sa guitare qui est venu . Il est né dans la région de Tamanrasset. «
"Je suis né dans le désert au milieu des hommes fiers et invincibles, conscient, très tôt, de la force de la nature qui règle
toutes choses. »
Bien sûr, il a été influencé par d’autres.
Il a sillonné l’Europe aux côtés de Albert King et Albert Collins, il a parcouru les routes américaines avec James Cotton, Otis Rush, Screaming Jay Hawkins et une bonne partie de la scène locale de
Chicago . Il a chanté , souvent dans sa langue natale, il a parlé, plutôt en français .

« Je cherche à être authentique. La seule façon de l’être, c’est de laisser tout venir en moi jusqu’au moment où le corps devient souffrant et ne résiste plus à
délivrer le message dont il est porteur. Laisser tout ressortir, exprimé au plus juste, au plus vrai. N’être que l’instrument de la force de la vie. La musique traverse la vie .... la vie est dans
ma musique... et le rythme traverse ma vie ».
Son dernier Cd vient de sortir
L’autre partie de la soirée, ce sont des vedettes du blues canadiens qui l’ont tenue , Dawn Tyler Watson,
le guitariste Paul Deslauriers.
Dawn Tyler est d’origine anglaise, a migré dans sa petite enfance à Ontario, où dès l’age de 5 ans , elle chantait à l’église. Elle a appris la guitare, le violon, puis étudié le jazz à Montréal. A
peine diplômée, elle chantait du rythm & blues dans les bars et les clubs locaux . Elle a fondé un groupe de gospel, les « sisters spirit ,
Interprète vibrante et souple, Dawn est très occupé par ses divers projets. Chanter devant une foule de 1500 personnes dans une discothèque de Milan, devenant
funky avec son groupe " les Jamm " lors d’un hotspots de Montreal, ou chanter les standards avec les meilleurs musiciens canadiens au club de jazz de Biddles, Dawn est à la maison sur la scène.
Elle vient de finir son album : "Ten Dollar Dress". Ce long effort attendu est le reflet de sa personnalité, juste comme l'artiste elle-même. Surnommée "la Princesse du Blues" son approche du chant
blues est beaucoup plus fine que les chants des "vielles mamas".
Paul Deslauriers
Un parcours un peu similaire, des voies différentes,
C’est à l’âge de 6 ans à Cornwall en Ontario que sa carrière musicale débuta en passant par le violon, le piano, la trompette, la basse électrique et finalement opter pour la guitare électrique. À
l’âge de 15 ans il joue déjà du rock ‘n’ roll dans les clubs des alentours. À 19 ans il déménage à Montréal et entame des études en jazz à l’Université Mc Gill. Quelques temps plus tard, il forme
son premier trio blues/rock
Paul Deslauriers est un guitariste chanteur , auteur compositeur canadien . Il a crée son groupe en 1977 . Il aime le rock, il aime le blues , il aime la musique qui le fait vibrer . Au cours de sa
carrière musicale, il a partagé la scène avec de nombreux artistes comme Amanda Marchall , France d’Amour ,Garou et Nicolas Ciccone et encore d’autres .
Sur scène, ensemble, ils forment une superbe équipe. Leur programme est un mix de leurs compositions respectives
et il est facile de se laisser emporter autant par la voix chaude et chaleureuse de Dawn , que par le son de la guitare et la voix de Paul.

La reprise de « Ne me quittes pas » de Jacques Brel fut peine d’émotion.
Ce fut un régal, de profiter de cette complicité musicale, de cette bonne humeur .
On en redemande , on les rappelle et on les applaudit .
Bravo pour ce concert .
Ils ont enregistré un cd ensemble. En situé près des Etats-Unis’’.
Quelques extraits à partir de leur site
http://www.dawnandpaul.com/press.html
18 septembre 2009
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http://www.thekooks.com/home
Ils sont un groupe de rock anglais originaire de Brighton. Ils ont vendu des milliers d'exemplaires de leur
dernier cd.,Inside In, Inside out .
Inside In / Inside Out
Seaside
See The World
Sofa Song
Eddie's Gun
Ooh La
You Don't Love Me
She Moves In Her Own Way
Matchbox
Naive
I Want You Back
If Only
Jackie Big Tits
Time Awaits
Got No Love
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The Kooks, dont la traduction serait "Loufoque "', en hommage à David Bowie proposent une musique
"active " , au contraire de statique .
A l'époque de la fac, Luke, Paul, Hugh et Max font leur gamme dans une école de musique où ils côtoient notamment Lily Allen et Katie Melua avant de se frotter à une reprise de 'Reptilia' des
Strokes.
L'énergie pop des quatre chevelus enchante le public des salles britanniques. C'est donc tout naturellement qu'un album intitulé 'Inside In - Inside Out' voit le jour en 2006. Forte d'une galette
encensée et de concerts envoûtants, la vague 'The Kooks' s'exporte dès lors hors de ses terres et déferle sur l'Europe.
Avec
-
Luke Pritchard (Chant, guitare)
-
Paul Garred (Batterie)
-
Hugh Harris (Guitare, chœurs)
-
Peter Denton (Basse, chœurs)
Ils ont subi les influences de'autres groupes comme
The Beatles , Blur , The Kinks , Madness , Pulp , Supergrass , The Who , The Strokes , David Bowie , The
Rolling Stones